Appartenant à la famille Mars (comme les délicieux Milky Way), les Snickers se vendent bien, très bien même puisque cette barre chocolatée la plus vendue au monde ! Vous allez voir qu’au regard des publicités que Snickers propose, un doute plane sur ce produit qui serait à en croire ses créateurs seulement composé de nougat, de cacahuètes grillées, de caramel et de chocolat au lait. En somme, rien qui ne justifie un tel succès. Enquête !
Syndrome de manque
Les gourmands sont tous les mêmes, s’ils n’ont pas leur douceur ils perdent tout contrôle à la manière de drogués en manque. Il semblerait que la campagne You’re not you when you’re hungry s’adresse directement à eux puisqu’elle met en scène tous les dégâts que génère le fait de pas avoir sa dose de Snickers habituelle. Inventives, ces publicités nous offrent plusieurs situations totalement incongrues comme ce robot aux énormes mains qui tient absolument à jouer du piano alors que les touches sont bien trop petites.
Le visuel le plus amusant et le plus lisible de cette collection nous présente un homme avec des gants de boxe qui tente désespérément de dégrafer les soutien-gorge d’une femme qui semble tout à fait charmante. Déjà que beaucoup de mâles ont du mal sans gants lors avec..
Divertissant également, la version Père-Noël qui, sans sa dose, pète littéralement un plomb et rase sa légendaire barbe au risque d’attrister des millions d’enfants.
Le constat est sans appel : les Snickers agissent sur les consommateurs de la même façon que la drogue et pourtant les pouvoirs publics restent les bras croisés. Vous allez voir que les dégâts qui résultent de sa prise ne sont pas non plus très réjouissants.
Inconscience et débilité
Les dégâts qui résultent de l’absorption d’un Snickers peuvent se révéler dévastateurs en plongeant le consommateur dans un état végétatif prononcé. Pour s’en convaincre il suffit d’observer ce footballeur qui aurait mieux fait de ne pas en manger. Alors qu’il forme un mur et qu’un coup franc s’apprête à être tiré, il oublie totalement de se protéger les parties génitales, choses que ses coéquipiers non sujet à cette addiction n’omettent pas. Inconscient le malheureux risque une douleur insoutenable et dans le pire des cas, devenir stérile. Cette inconscience face au danger qui guette est glaçante et illustre parfaitement les effets néfaste de la drogue. Encore une preuve supplémentaire du caractère nocif des Snickers.
Un autre des risques qu’entraînent la prise de stupéfiants aussi fort que des Snickers est assurément la débilité. Beaucoup de consommateurs pensent par exemple qu’il est possible de manger les barres géantes représentées sur les affiches publicitaires extérieures. Plein d’espoir ils ne reculent ainsi devant rien pour les atteindre pas même de sauter en parachute dessus ! La drogue et ses ravages…
Hallucinations
Pour finir nous vous conseillons la campagne It’s what you would want. Particulièrement originale cette dernière reprend le principe d’Halloween. Des marmots sonnent en effet aux maisons afin de récupérer des Snickers. Car première alerte, c’est uniquement des Snickers qu’ils veulent. Tous. Cependant, le plus troublant est que chaque personne qui ouvre sa porte voit apparaître un être de la taille d’un enfant derrière mais qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Sa copie conforme en plus petit. Même tête et mêmes habits. Lui en nain si vous préférez. Voilà l’exemple de trip hallucinatoire que procure l’absorption de Snickers. Flippant…
Vous l’avez compris cette enquête montre donc clairement la lourde tendance qu’a Snickers à jouer sur le côté addictif de son produit. Le résultat s’avère convaincant puisque la marque réussie pleinement à varier la forme et instiller un peu d’humour. Bonne visite !
